Billet non habituel...
Billet en hommage à toi, mémé.
Tu t'es éteinte hier soir alors que moi j'y croyais...
Il y a une semaine aujourd'hui, on a su que tu étais atteinte d'une maladie grave... Mais celà ne voulait pas dire que tu partirais si vite... 2 semaines, 1 mois, 3mois... On savait pas...
Malgré que cette maladie soit "aigue" comme ils disent, tu pouvais lutter et augmenter ton espérance de vie au maximum...
Mais d'autres complications on fait que... ton coeur ne l'a plus supporté...
Toi qui était toujours souriante, jamais je ne t'ai vu pleurer, jamais je ne t'ai vu baisser les bras. Chez toi, on était toujours bien accueilli. Je me souviens de ces parties de petits chevaux avec ta fameuse phrase "retourne chez ta mère". Tu nous a toujours bichoné, on ne peut rien te reprocher.
On pourrait en vouloir aux docteurs. Pourquoi n'ont ils pas fait de traitement plus vite? Pourquoi n'ont ils pas au moins tenté?
Mais non, j'en ai pas envie.
Pour me rassurer, me rendre moins triste, parfois je me dis que c'est peut être mieux ainsi. Si tu étais encore là, tu aurais continuer à souffrir, tu aurais du subir un traitement très fatiguant et ta fin de vie n'aurait pas été bonne.
Dans tout les cas, mémé, sache que je ne t'oublierai jamais et écrire ce billet me fait du bien au fond de moi, il m'aide non seulement à extérioriser ma souffrance mais aussi à prouver au monde que tu étais une femme qui valait la peine d'être connue.
De la haut, j'espère que tu veilles sur nous et surtout sur pépé. Donne lui la force de continuer un bout de chemin sans toi.
Je t'aime mémé
Billet en hommage à toi, mémé.
Tu t'es éteinte hier soir alors que moi j'y croyais...
Il y a une semaine aujourd'hui, on a su que tu étais atteinte d'une maladie grave... Mais celà ne voulait pas dire que tu partirais si vite... 2 semaines, 1 mois, 3mois... On savait pas...
Malgré que cette maladie soit "aigue" comme ils disent, tu pouvais lutter et augmenter ton espérance de vie au maximum...
Mais d'autres complications on fait que... ton coeur ne l'a plus supporté...
Toi qui était toujours souriante, jamais je ne t'ai vu pleurer, jamais je ne t'ai vu baisser les bras. Chez toi, on était toujours bien accueilli. Je me souviens de ces parties de petits chevaux avec ta fameuse phrase "retourne chez ta mère". Tu nous a toujours bichoné, on ne peut rien te reprocher.
On pourrait en vouloir aux docteurs. Pourquoi n'ont ils pas fait de traitement plus vite? Pourquoi n'ont ils pas au moins tenté?
Mais non, j'en ai pas envie.
Pour me rassurer, me rendre moins triste, parfois je me dis que c'est peut être mieux ainsi. Si tu étais encore là, tu aurais continuer à souffrir, tu aurais du subir un traitement très fatiguant et ta fin de vie n'aurait pas été bonne.
Dans tout les cas, mémé, sache que je ne t'oublierai jamais et écrire ce billet me fait du bien au fond de moi, il m'aide non seulement à extérioriser ma souffrance mais aussi à prouver au monde que tu étais une femme qui valait la peine d'être connue.
De la haut, j'espère que tu veilles sur nous et surtout sur pépé. Donne lui la force de continuer un bout de chemin sans toi.
Je t'aime mémé